Kochi

· Food, Illustration, Voyage

Enfin ! Je reprends le récit de notre road-trip japonais d’il y a 1 an tout pile. À cette même date je me trouvais dans la ville que je vais vous décrire aujourd’hui : Kōchi !  L’ambiance change complètement par rapport ce que nous vivons cette année n’est-ce pas ? J’espère en tous cas arriver à vous faire évader un peu le temps d’un billet, avec cet immense plaisir de me replonger dans ces photos d’un autre temps, le temps de l’insouciance et de la liberté.

Je vais donc développer notre parcours dans la ville de Kōchi qui est elle-même située dans la préfecture de Kōchi, elle-même appartenant à l’île de Shikoku que nous sommes en train de parcourir… Vous suivez ? Nous avons séjourné 2 nuits à Kōchi (la ville), ce qui nous a laissé un peu de temps pour visiter ses différents points d’intérêt que je vais vous raconter ci-après .

 

Le château de Kochi

Nous ne sommes restés qu’à l’extérieur, souhaitant privilégier d’autres visites dans la ville mais en voici un aperçu, montrant le parc environnant. Ce château, construit en 1611 est le témoin de l’époque Edo et renferme un musée.

Pour les fans d’animation nippone, sachez que ce château apparaît visiblement dans un film Ghibli « Je peux entendre l’océan » dont l’action se déroule à Kōchi (je ne l’ai pas vu, comme la plupart des films Ghibli= oui je sais, la honte ! mais je compte me rattraper sur Netflix).

 

La plage de Katsurahama

La voiture était bien pratique pour y accéder sinon j’imagine que l’on peut prendre le bus (car située à 30mn du centre-ville de Kochi). Cette plage bordée de pins est assez spectaculaire et nous avons eu la chance de bénéficier de cette météo superbe.

Malheureusement, pas de baignade autorisée vu la dangerosité du courant, donc ne prévoyez pas de maillot de bain, ou alors promenez-vous seulement en maillot de bain si ça vous chante (mais il restera désespérément sec).

Cette plage est réputée pour abriter la statue d’un VIP de Kochi : j’ai nommé Sakamoto Ryoma (qui a même un musée en sa mémoire si vous voulez pousser davantage vos connaissances à son sujet). En bref, on lui doit la fin de l’ère féodale au Japon, ce qui mérite bien autant d’attention.

À côté de ça, un joli petit temple surplombe les vagues après avoir marché sur un pont au bout de la plage. L’endroit est excessivement photogénique et impressionnant comme en témoignent ces photos.

 

Le marché Hirome

Ce marché de la ville est un marché couvert constitué de 7 sections aux univers distincts mais la nourriture y a évidemment la part belle. On en a profité pour y déjeuner en voguant de stands en stands pour goûter à ce qui nous faisait envie. Je n’ai pas de stand particulier à recommander, laissez-vous guider par votre intuition et vos envies !

Calamars grillés et crêpes aux mochis

 

Nous y avons testé la spécialité de la région : le tataki de bonite, plat emblématique de la préfecture de Kochi. Une sorte de thon rose juste saisi, mi-cuit qu’il convient de déguster accompagné d’oignon vert, de gingembre et/ou de l’ail… le plat parfait pour les étreintes amoureuses (distanciation sociale ?).

Katsuo no tataki (tataki de bonite)

 

La région est également réputée pour ses agrumes et ses frites de patate douce. Faites-vous plaisir, le marché est le lieu typique pour découvrir de nouvelles saveurs, sortez des sentiers battus et osez !

 

Temple Chikurin-Ji  (Temple 31)

On ne perd pas de vue le pèlerinage des 88 temples de Shikoku : Ce temple vaut le détour non seulement pour notre collection de calligraphies mais aussi pour sa pagode à 4 étages et son écrin de verdure particulièrement apaisant. Je vous laisse admirer.

 

 

 

Autres idées de visites

Voici quelques pistes de visites (que nous n’avons malheureusement pas pu tester) mais qui semblent intéressantes si vous séjournez dans le coin.

LE JARDIN BOTANIQUE MAKINO : ce jardin est dédié à un botaniste japonais réputé, Tomitaro Makino ou « le père de la botanique japonaise » (rien que ça). En face du temple Chikurin-ji, il ravira les amoureux d’érables, chrysanthèmes et autres splendeurs végétales du Japon.

LE FESTIVAL DE DANSE YOSAKOI : Un festival de danse traditionnel qui a lieu le 10 et 11 Août de chaque année (sauf cette année peut-être !). La danse Yosakoi fait intervenir un accessoire que vous verrez un peu partout dans la région : le naruko (une sorte de castagnette japonaise en bois). De nombreux groupes de danse viennent participer au concours organisé durant le festival. L’ambiance doit être tellement chaleureuse, colorée et festive (et j’imagine les stands de nourriture qui vont avec, hehe ! ).

L’OBSERVATOIRE GODAISAN : pour surplomber la ville et admirer le panorama.

 

Gourmandises à Kochi

Nous avons principalement mangé sur le pouce, sur le marché, mais voici 2 adresses recommandées par des locaux qui ont retenu notre attention (et ravi nos papilles)

KUMONYA (1 Chome-4-15 Harimayacho, Kochi) : Un restaurant d’izakaya complètement dépaysant et authentique.

On s’assoit au comptoir, aucun menu en anglais évidemment, nous nous sommes laissés guider par les recommandations du chef… et ce fut la régalade ! Bonite sous toutes ses formes (tataki et maki),  coquillages (je ne saurais dire leur nom), aubergines grillées, tout était absolument délicieux !

PÂTISSERIE NEGRITA : Il me semble que c’est une chaîne de pâtisserie. Si vous êtes en manque de pâtisserie française version nippone, l’endroit est fait pour vous. Assez petit mais il a su combler notre petite envie de sucré. Mention spéciale à la serveuse adorable (qui a peut-être changé depuis).

 

L’hébergement à Kochi

Nous avions réservé un hôtel sans prétention : le Comfort Hotel Kochi surtout pour sa localisation en centre-ville. C’est ici que nous avons eu du mal à nous faire comprendre au sujet d’un parking réservé mais qui en fait ne l’était pas ! Nous avons donc dû nous garer dans un parking public à grand renfort de gestes explicatifs mais tout s’est finalement bien passé…

La chambre était assez petite à mon souvenir mais amplement suffisante pour ce qu’on voulait y faire : dormir.

 

J’espère que vous avez apprécié la visite, d’autant plus en cette période de déconfinement confiné pas très nette. Rendez-vous au prochain épisode pour s’éloigner un peu de la ville et partir le long de la rivière Shimanto !

Mon blog a 13 ans

· Feel inspired, Illustration

Au fil des ans, je vois cette date du 25 mai passer, le sourire aux lèvres… je ne la fête pas particulièrement chaque année mais je pense toujours à ce jour de 2007 où l’idée m’est venue d’ouvrir un blog « pour voir », parce que je trouvais ça génial de pouvoir discuter avec des gens du monde entier, que j’en avais assez de laisser des commentaires à rallonge sur d’autres blogs mode (dont celui de Balibulle ou de Punky B) et qu’il me fallait un espace plus large pour m’exprimer et créer.

Les réseaux sociaux n’existaient pas (mais la messagerie MSN si !), c’était une époque où le seul moyen de communiquer avec vous était l’espace commentaires ci-dessous. Honnêtement, je ne pensais pas que 13 ans plus tard, je serais encore là à vous écrire… Certain.e.s d’entre vous sont là depuis le début, d’autres sont arrivé.e.s en route ou me découvrent tout juste : j’ai grandi et vieilli avec la plupart d’entre vous, tout en partageant mes passions et cela me paraît toujours aussi dingue lorsque j’y pense.

On lit souvent cet enthousiasme béat dans les interviews de blogueuses et je ne ferai pas dans l’originalité car, oui, ce blog a transformé ma vie, que ce soit au niveau humain qu’au niveau des expériences vécues. Je me suis laissée porter par ce qu’il me plaisait de faire et je ne regrette rien.

 

Un blog porte-bonheur

Mais pourquoi s’attarder sur cet anniversaire, cette année en particulier ? Peut-être parce que c’est l’année de mes 40 ans, que 13 est le nombre traditionnellement connu pour être porte-bonheur et que ce blog l’a été depuis 13 ans. J’ai changé par rapport à mes débuts (stylistiquement/physiquement parlant, c’est ce qui est le plus flagrant), mes aspirations et préoccupations également, mais je pense être restée fidèle à ce que je souhaitais en ouvrant ce blog : être sincère et me faire plaisir.

Via cet article, je me replonge dans ces 13 dernières années pour vous condenser le meilleur (et le pire) de ce qui a pu se passer en 13 ans (je n’ai cependant pas rapatrié toutes mes archives sur ce blog, qui commence officiellement en 2008). Sincèrement, je ne regrette rien : toutes ces années ont contribué à ce que je suis aujourd’hui et j’espère continuer à échanger avec vous ici ou ailleurs encore de nombreuses années. Je ne sais pas où cela me mènera mais tant que je prendrai du plaisir à écrire et partager ici, je le ferai.

Pour rire un peu et se dire qu’en 13 ans, il y a eu beaucoup de changement dans tous les domaines, voici un florilège de mes meilleurs souvenirs et looks/ coiffures improbables année par année. Il y aurait tant de choses à dire, mais voici un aperçu de ce qu’il s’est passé ici en 13 ans (si vous voulez rentrer dans les détails, libre à vous de tout relire depuis le début !). J’assume, haha !

Et pour finir, dans la catégorie « cheesy suprême », c’est le moment de vous dire MERCI de tout mon coeur parce que le blog, c’est aussi et principalement VOUS, sans qui mon plaisir ne serait pas vraiment le même <3.

 

2007:

  • Meilleur souvenir : Ma 1ère rencontre avec Alix (pour ma part, je ne montrais pas encore mon visage sur le blog !) mais voici une photo collector de nous deux prise ce jour-là
  • LE look : J’adorais la robe que je portais pour cette rencontre justement, achetée lors de mon 1er voyage au Japon.


2008 :

  • Meilleur souvenir : Mon voyage aux Etats-Unis
  • LE look : Tout dans ce look est tout ce que je ne porte pas aujourd’hui ! (une jupe transformée en écharpe (!), un sarouel, un gilet moumoute et cette coiffure manga-esque) mais il me fait sourire.

2009 :

  • Meilleur souvenir : Ma 1ère rencontre « dédicaces » avec vous lors du Festiblog
  • LE look :  La superposition de couches à son apogée : « Less is more » n’était pas vraiment mon mantra.

 

2010:

  • Meilleur souvenir : La sortie de ma 1ère BD « Serial shoppeuse » (thématique à mille lieues de mes convictions aujourd’hui) mais cela restera un souvenir gravé à jamais dans ma mémoire, pour le travail fourni, les émotions que j’ai pu ressentir, notamment au salon du livre ou en dédicaces dans les librairies de France encore une fois avec vous ! …et, à côté de ça, accessoirement, ce qui a changé ma vie et ma vision fut mon opération de la myopie racontée ici et
  • LE look : ça part dans tous les sens (obsession Pirate boots) mais, malgré ça je rencontre Ewan par hasard, alors peu importe mon look !

2011:

  • Meilleur souvenir : Cette expérience de mannequin d’un jour pour Jean-Paul Gaultier dans le cadre d’un programme ambassadeurs avec (entre autres) Stéphanie et Pauline et ce fabuleux voyage avec cette team JPG à Montréal.
  • LE look : La quête du perfecto parfait a rythmé ce début d’année, mon style s’épurait doucement (je dis bien doucement) et voici un look que je ne porterais pas vraiment aujourd’hui mais je possède encore 2 éléments le composant (la marinière et le perfecto) et les aime toujours autant.

2012:

  • Meilleur souvenir : La sortie de ma 2ème BD « Globe-trotteuses » (et encore des rencontres avec vous à travers la France <3) et cette journée passée avec mon groupe préféré Keane
  • LE look : Je craque enfin (hélas !) sur les baskets compensées Isabel Marant, ce qui donne lieu à ce look (=baskets qui sont toujours dans ma cave) mais on arrive tout de même à me confier un challenge look à Londres en compagnie de blogueuses internationales que vous connaissez certainement.

2013:

  • Meilleur souvenir : Une année riche en voyages : Séoul suivi d’une escapade paradisiaque en Thaïlande puis un retour aux USA… et de nombreux bons moments avec mon ami Lionel, rencontré 1 an avant, par le plus grand des hasards professionnels.
  • LE look : J’abandonne (enfin) cette coupe hérissée pour laisser mes cheveux au naturel

2014:

2015:

  • Meilleur souvenir : Mon voyage d’automne au Japon (encore !) qui m’a dévoilé une autre magnifique facette de ce pays et cette collaboration avec Swarovski qui fut un peu le déclencheur d’une grande histoire d’amour avec Noël.
  • LE look : Mes cheveux sont au max de leur longueur et redeviennent courts (avec mon style vestimentaire qui s’épure de plus en plus : Alléluïa !)

2016:

2017:

  • Meilleur souvenir : La découverte des coulisses de la parade des 25 ans de Disneyland Paris et un voyage à Bali qui m’a fait repenser ma consommation et mes priorités (on a considérablement épuré/transformé notre appartement cette année-là)
  • LE look : Mon style vestimentaire et ma coupe de cheveux se rapprochent davantage de mon idéal minimaliste.

2018:

  • Meilleur souvenir : Mon voyage hivernal au Japon sous la neige, mon road-trip anglais et l’une des plus belles collaborations que j’ai pu faire durant ces 13 années fut avec Kenzo, m’ayant laissé une énorme liberté artistique en plus de me faire travailler avec une équipe géniale (à Beaubourg et pour cette vidéo)
  • LE look : Simple, avec des choses que j’ai déjà dans mon armoire et peu de nouveautés, comme ce look au milieu d’une expo de Tadao Ando.

2019:

  • Meilleur souvenir : Notre road-trip au Japon (que je n’ai d’ailleurs toujours pas fini de vous raconter) et la bougeotte intense de cette année rythmée par des concerts ( Take That, Spice Girls à Londres, Backstreet Boys, Keane, Marina, Little Mix, festival Lollapalooza…) et une saison de Noël parfaitement cosy.
  • LE look : Je fais entrer toujours aussi peu de nouveauté dans mon dressing et cherche des looks simples et faciles à vivre.

2020:

 

J’espère que cette rétrospective de blog-anniversaire vous aura plu : cela permet en tous cas de me rendre compte de mon évolution (comme un Pokémon ?) en espérant pouvoir vivre d’autres jolies choses à vos côtés pour ces 13 prochaines années ! (…avec ou sans déambulateur ?)

Vu sur Netflix

· Culture, Illustration

J’avais résisté depuis des années à l’appel de Netflix, par peur d’être happée par la spirale du binge watching et de mettre fin à toute vie sociale (SPOILER : ce n’est pas Netflix qui a été responsable de ma coupure sociale durant ces 2 derniers mois) mais depuis fin décembre, ambiance cosy de Noël aidant, j’ai franchi le pas et me suis abonnée.

Et je ne regrette pas ! (Surtout pendant cette période de confinement !) D’autant plus que cela n’a pas vraiment empiété sur mes autres activités (je regarde plutôt le soir ou un peu le week-end, à la place des programmes barbants/anxiogènes de la télé traditionnelle). J’ai presque pu remettre à niveau ma culture « séries » (il me manque cependant plein de choses à voir… y compris les séries culte mais je ne désespère pas !) mais par dessus tout, j’ai trouvé des programmes sur mesure pour mes goûts culinaires ou d’évasion.

Je vais donc vous dresser une liste de ce que j’ai vu jusqu’à présent, quitte à l’étoffer au fur et à mesure. (=N’hésitez pas à me donner des propositions dans les commentaires !) Ainsi vous pourrez peut-être vous en inspirer si vous cherchez de nouvelles idées à regarder… ou les éviter ! (Cela dit, je suis partisane qu’il faut toujours se faire un avis par soi-même… on ne sait jamais, les goûts et les couleurs… !)

 

Le Japon et l’Asie

J’ai répertorié ici tout ce qui est en rapport avec l’Asie avec une forte prédominance japonaise, vous me connaissez !

 

QUEER EYE : WE’RE IN JAPAN!

1ère émission que j’ai vue sur Netflix : J’ai tout simplement adoré la bienveillance, la tolérance et la convivialité de cette équipe Queer de choc qui aide des japonais à reprendre le contrôle de leur vie, que ce soit au niveau de leur apparence, leur confiance en eux ou de leur déco. Larmichettes et émotion au pays du soleil levant.

 

TERRACE HOUSE

Terrace House « Tokyo 2019-2020 »

 

Cette émission de télé-réalité japonaise a été le petit plaisir (non coupable) qui a rythmé mon début d’année et mon confinement. J’ai découvert les différentes saisons à l’envers, en commençant par Tokyo 2019-2020 (elle continue encore en ce moment) pour enchaîner ensuite sur Opening new doors 2018, Boys and girls in the city 2015-2016 et terminer par Hawaii Aloha State 2016-2017, les seules saisons dispo sur Netflix (je rêve que les saisons précédentes fassent partie du catalogue).

J’ai déjà fait de nombreux débriefs dans mes stories et sur Instagram mais en gros, si vous êtes fan du Japon, de la culture japonaise, et si vous aimez analyser les comportements humains, vibrer au rythme de jolies romances (et baver devant la nourriture nippone) cette émission est faite pour vous.

Terrace House « Opening New Doors 2018 » avec mon couple fétiche <3 (Credit photo : Sam Byford)

 

Ma saison préférée est Opening New doors (jusqu’à la fin de la partie 3 environ, après ça se gâte et n’a pas trop d’intérêt selon moi) pour le côté super cute du couple en question et l’ambiance cosy du lieu (chalet dans la montagne). Si je retourne au Japon un jour, obligée, je fais un détour à Karuizawa !

J’aime aussi la fin de la saison Tokyo 2019-2020 avec l’apparition d’un candidat italien charismatique, talentueux et drôle : Peppe ! Celle que j’ai le moins aimée est Hawaii Aloha State car la culture nippone n’y était pas assez représentée mais c’était drôle à voir quand même.

 

MIDNIGHT DINER : TOKYO STORIES

J’ai regardé le 1er épisode et n’ai bizarrement pas été convaincue par le rythme ni l’histoire alors que tous les ingrédients semblaient être présents (nourriture japonaise, restaurant intimiste…) d’autant plus que c’est une adaptation du manga « La cantine de minuit » (qui est apparemment de qualité). Il faudrait peut-être que j’insiste mais à voir les avis partagés, je ne suis pas très motivée.

 

KINGDOM

Assez intriguée par le 1er épisode se déroulant dans un ancien royaume coréen avec une glaçante invasion de zombies, j’ai été cependant plus distraite lors des suivants, ayant suivi la série à travers les yeux de mon chéri qui était plus assidu que moi et ne voulait pas m’attendre pour regarder la suite (=je devais rendre un travail d’illustration : j’ai donc regardé en même temps, de manière bien moins concentrée).

Mon cher et tendre a en tous cas adoré et j’ai moi-même apprécié la beauté des images (vu que je n’étais pas très attentive au scenario haha) : Bref, désolée pour cette review en carton ! Mais il fallait quand même que je vous le mentionne car cela vaut le détour (si on se concentre bien).

 

STREET FOOD ASIA

Un documentaire qui met l’eau à la bouche et explore différentes spécialités de cuisine de rue en Asie. De Bangkok à Séoul en passant par Osaka, de fortes personnalités très souvent touchantes nous révèlent leur histoire autour d’un ou plusieurs plats phare de « Street food ».

 

JE PEUX ENTENDRE L’OCÉAN

Un Ghibli pas très populaire et je comprends pourquoi ! Le film n’est pas particulièrement beau et les personnages pas vraiment attachants (dont Rikako particulièrement irritante) sans parler de l’histoire un peu tirée par les cheveux. Je l’ai regardé uniquement car l’histoire se déroule dans la ville de Kōchi à Shikoku et je voulais comparer avec mes souvenirs de voyage. Mais sinon, le visionnage peut être totalement dispensable.

 

LOVE IS BLIND JAPON

Je n’ai pas vu les émissions « Love is blind » des autres pays car le concept « télé-réalité » de ce genre d’émission ne m’intéresse plus vraiment. Je me suis laissée tenter par la version nippone car comme dans Terrace house, j’aime observer les différences comportementales au Japon par rapport à notre culture latine.

Assez lent à démarrer (pendant la phase des isoloirs) mais ensuite, je me suis laissée prendre par les romances (qui paraîtront bien timorées via nos yeux d’occidentaux) et ai été touchée par un couple en particulier, ultra mignon (saurez-vous deviner lequel ?).

 

 

Les Séries

La scène du bus de Sex Education <3

 

Je ne me suis pas lancée dans tout ce que je souhaitais visionner car une série demande un peu plus d’attention et d’assiduité pour les terminer. Mais voici ce que j’ai pu voir jusqu’à présent :

 

SEX EDUCATION

Gros coup de coeur alors qu’à la base je pensais que vu le titre, cela allait être niais, un peu lourd et d’un humour graveleux (type « American pie »). Evidemment, le sexe est le thème central de la série mais c’est intelligemment raconté, sans détour, avec une sincérité et une sensibilité des personnages qui fait qu’on ne peut qu’adhérer et attendre la saison 3 avec impatience (Edit 2022 : la saison 3 est encore plus fabuleuse que les 2 précédentes). L’histoire se déroule dans une petite ville anglaise donc point bonus pour le côté british !

 

STRANGER THINGS

Depuis le temps que j’entendais parler de cette série ! Je me suis limite abonnée pour ça ! Et je n’ai pas été déçue… (sauf pour la saison 2 quand même, moins intéressante selon moi) : Les jeunes acteurs sont brillants, pétillants, Winona Ryder solide et l’ambiance 80s est parfaite pour les nostalgiques. Je suis quand même curieuse de voir ce que la saison 4 peut apporter, j’ai peur qu’ils n’arrivent pas à réinventer l’intrigue.

 

HOLLYWOOD

Mini-série de 7 épisodes qui peut se regarder aisément en un week-end. Réalisée par Ryan Murphy (qui a aussi réalisé Glee : que je n’ai pas vu = quand je vous dis que j’ai plein de lacunes !), elle se déroule dans les années 40 aux Etats-Unis et le scénario dépeint un monde cinématographique hollywoodien plus ou mois glamour qui pourrait tout à fait être comparé à notre monde actuel. Une piste de réflexion sur l’homophobie, l’acceptation de l’autre, le harcèlement, le pouvoir donné aux femmes. Utile et plaisant.

 

FARGO

J’avais acheté le coffret DVD l’an dernier car Ewan Mc Gregor est présent dans la 3ème saison (fan attitude oblige !). J’avais déjà visionné la saison 1 et 2 (j’ai préféré la saison 1 avec un Martin Freeman tout à fait déconcertant) et je suis en cours de saison 3 avec une double prestation assez admirable de Ewan (je ne suis pas très objective). Chaque saison peut-être vue indépendamment car l’intrigue est différente mais il est souvent question de meurtres et d’affaires policières nichées au fin fond du Minnesota.

 

ELITE

Les 3 saisons de cette série m’ont tenue en haleine durant l’été : Meurtre, suspense et amourettes de lycée saupoudrées d’érotisme. Il paraît qu’une suite se prépare mais selon moi, ce sera sans doute la saison de trop. L’intrigue est prenante sans demander trop de réflexion/concentration.

 

La team Elite et Lily Collins dans Emily in Paris

 

EMILY IN PARIS

Une série qui se regarde en un week-end avec un Paris fantasmé et aussi joli qu’une carte postale. Les clichés sont nombreux (mais souvent vrais !), les scènes pas particulièrement réalistes mais malgré tout, ce n’est pas niais mais plutôt drôle.

Cela permet de se vider la tête devant des personnages tantôt beaux, pétillants, charmeurs ou honteusement odieux, comme dans toute série légère de ce genre. La team d’acteurs semble s’être bien amusée et cela se ressent, que ce soit Lily Collins, Lucas Bravo, Ashley Park ou Philippine Leroy Beaulieu…

 

LIVING WITH YOURSELF

Une mini série qui se regarde aussi en un week-end. Paul Rudd fait mouche dans ce double rôle de lui-même face à lui-même. La prestation est assez bluffante et le scénario à base de relation de couple sur le déclin et de clones est plutôt prenant.

 

LA CHRONIQUE DES BRIDGERTON

Cette série légère dont tout le monde parlait, nécessitait que je m’y attarde. Étant pourtant friande de romances, je n’ai pas réussi à être séduite par celle-ci. Je n’ai pas vibré pour le couple phare (Même si la chaleur se voulait être torride entre eux, leur jeu de séduction m’a paru assez pauvre et la fadeur/ naïveté de Daphné m’a agaçée) ni pour le scénario et la mise en scène souvent trop sirupeuse.

 

HALSTON

Encore une série pour les beaux yeux d’Ewan, qui incarne le rôle de ce créateur de mode américain des années 70-80, Roy Halston Frowick. Le récit est raconté de manière un peu lisse et prévisible (malgré l’envie de choquer via quelques scènes provocantes). À voir pour les décors, les costumes d’époque et l’admirable prestation de Ewan Mc Gregor, qui porte à lui seul la série.

 

PLAN COEUR

Une fois n’est pas coutume : Une série française ! J’ai beaucoup ri durant la saison 1 et y ai apprécié le ton, les intrigues originales et la romance. La saison 2 était plus imparfaite mais agréable à suivre malgré tout. J’ai trouvé que cela s’est gâté en saison 3 : Des délires forcés pas très drôles, des personnages qui évoluent bizarrement…

Heureusement, le dernier épisode de cette saison finale était assez original et rendait bien hommage à la complicité et l’amour entre les personnages. 1 ou 2 saisons auraient peut-être suffit selon moi.

 

DAWSON’S CREEK

Il faut vous rendre sur Instagram pour revivre notre marathon #TKBBDAWSONCLUB qui nous a duré une bonne partie de l’année 2021 ensemble ! Ce revisionnage entier des 6 saisons de la série (en VO) m’a confirmé que cette série des années 90-2000 est toujours un grand festival d’émotions, de sensibilité et d’intelligence avec des sujets avant-gardistes pour l’époque (oui oui j’insiste). Team Pacey et Team Jen always pour ma part !

 

SQUID GAME

Rares sont les personnes qui sont passées à côté du phénomène coréen Squid Game. Je comprends l’engouement pour cette série, certes violente, mais au message qui fait réfléchir et à la mise en scène à la fois esthétique et perturbante. Le succès est justifié (mais pas sûre qu’une saison 2 soit utile selon moi).

 

Les films

Dernier train pour Busan

 

Il faudrait vraiment que je rattrape mes lacunes cinématographiques mais voici ce que j’ai visionné dernièrement dans ce catalogue.

 

GET OUT

J’avais râté sa sortie au ciné et je suis bien contente d’avoir pu le voir ici : j’ai adoré l’intrigue et ai été prise par l’ambiance stressante/malaisante chez cette famille américaine blanche qui accueille pour la première fois son gendre noir. Le message passe encore mieux avec ce scénario glaçant.

 

DERNIER TRAIN POUR BUSAN

Film coréen où il est (encore) question de zombies qui envahissent le monde : Scénario transposable à ce que l’on peut vivre actuellement avec la pandémie COVID-19… Outre le côté stressant de l’histoire, il est intéressant d’analyser les différents comportements des personnages et de s’émouvoir à plusieurs reprises. Ce film m’a marquée.

 

INTERSTELLAR

J’ai rattrapé le visionnage de ce film de Christopher Nolan que j’avais manqué à sa sortie. Comme d’habitude, je suis assez sensible à ses scénarios tarabiscotés et ai donc beaucoup aimé cette odyssée dans l’espace quelque peu particulière.

 

ENOLA HOLMES

Un film consacré à la soeur de Sherlock Holmes, incarnée par Millie Bobby Brown (découverte dans Stranger Things). L’intrigue est un peu légère et le ton plutôt adolescent mais l’énergie et l’espièglerie de Millie crèvent l’écran. Henry Cavill et Sam Claflin sont plus en retrait. Un film pas exceptionnel mais plutôt divertissant.

 

THE FUNDAMENTALS OF CARING

Film découvert lors de mon marathon Paul Rudd (j’ai décidé de regarder le maximum de films avec lui dedans) et ce fut une bonne surprise : une sorte d’ « Intouchables » à l’américaine avec le charme de Paul en plus ! Des bons sentiments (parfois frôlant la morale un peu bateau), un peu d’impertinence et une Selena Gomez rebelle. Feel good et réconfortant.

 

REBECCA

Une nouvelle adaptation du roman policier de 1938 de Daphné du Maurier. A voir pour les belles images de Monte Carlo, quelques scènes angoissantes (mais inutiles) et les looks des personnages principaux mais j’ai moyennement cru en cette romance entre Lily James et Armie Hammer ni au dénouement de l’intrigue, trop vite expédiée.

La version de Alfred Hitchcock de 1940, même si old school et peu moderne me semble plus subtile pour apprécier le scénario.

 

VOYAGE VERS LA LUNE

Un film d’animation sino-américain réalisé par Glen Keane, un ancien de Disney. On sent fortement la patte Disney avec le scénario chantant, le graphisme et les personnages secondaires plutôt mignons. La 1ère partie et la fin sont visuellement esthétiques/poétiques avec une immersion au sein de cette famille chinoise recomposée.

Le reste se déroule dans un monde imaginaire criard, sans réel intérêt scénaristique mais qui plaira peut-être aux plus jeunes. Le message global est plutôt positif et attendrissant mais le tout était trop inégal pour me tenir en haleine du début à la fin.

 

AGENTS TRES SPECIAUX : CODE U.N.C.L.E

Un film d’agents secrets comme on les aime avec une ambiance retro 60s : Humour, action et alchimie entre les acteurs (ça fonctionne bien entre Alicia Vikander et Armie Hammer… même si depuis les révélations glaçantes à son sujet, ma fougue est bien retombée pour ce dernier). Henry Cavill est aussi de la partie, ce qui ne gâche rien. On espérait une suite mais cela semble compromis.

 

A GHOST STORY

Un film pesant, lent, contemplatif au sujet du deuil avec un point de vue original (du côté de la personne décédée). J’ai bizarrement ressenti peu d’émotion, peut-être à cause de cette mise en scène au ralenti, privilégiant l’esthétisme au détriment de la simplicité.

 

37 SECONDS

L’émancipation de Yuma, jeune mangaka japonaise handicapée, surprotégée par sa mère est racontée dans ce film. Quelques détails m’ont empêchée de ressentir pleinement les émotions mais cela permet malgré tout de réfléchir sur la différence, le handicap et de s’évader visuellement au Japon et en Thaïlande.

 

PIERROT LE FOU

J’ai voulu découvrir un 2ème Godard (J’avais plutôt aimé « À bout de souffle ») en visionnant ce film culte du cinéma français mettant en scène des icônes comme Jean-Paul Belmondo et Anna Karina, mais ici, je suis restée insensible face au jeu d’acteur étrange, à mi-chemin entre une performance théâtrale et une expo d’art expérimental.

 

LE PRESTIGE

Très bon moment que ce film de Christopher Nolan, qui reste fidèle à ses scénarios alambiqués. Ici, le milieu du spectacle et de la magie est abordé en compagnie d’acteurs reconnus (Christian Bale, Hugh Jackman, Scarlett Johansson) et de rebondissements à la clé.

 

ZOE

Je l’ai regardé uniquement pour la présence d’Ewan Mc Gregor, j’avoue. Le thème du cyber-amour était intéressant à exploiter mais on ressort un peu dubitatif face à cette histoire qui traîne en longueur sans être pleinement aboutie. C’est plat et sans réel intérêt scénaristique ou visuel (sauf Ewan of course !).

 

THE DIG

Ambiance champêtre sur fond de 2ème guerre mondiale mettant en lumière la découverte du site archéologique de Suton Hoo par Basil Brown (Ralph Fiennes), missionné par une veuve anglaise (Carey Mulligan). Le rythme est assez lent mais l’atmosphère ainsi que la garde-robe de Carey peuvent valoir le coup d’oeil.

Credit photo : Larry Horricks

 

PENGUIN BLOOM

Naomi Watts délivre une prestation juste et sensible de cette femme accidentée, paralysée des membres inférieurs, qui redécouvre le bonheur grâce à une pie abandonnée. Un film plein d’amour qui donne un peu de baume au coeur.

 

I CARE A LOT

Scénario à la fois immoral et jubilatoire au sujet d’un réseau d’arnaque à la personnage âgée. J’ai beaucoup pensé à Gone Girl (que j’ai adoré). J’étais donc habituée à la froideur incarnée par Rosamund Pike mais aurais aimé que la personnalité des personnages soit plus approfondie pour apprécier encore plus.

 

I WANT TO EAT YOUR PANCREAS

Ne pas se fier au titre qui peut paraître effrayant : il n’en est rien. Ce film d’animation japonais traite des derniers moments de vie de Sakura, jeune fille atteinte d’une maladie incurable partagés avec Haruki, un adolescent introverti. Sensibilité, poésie et émotion sont au rendez-vous.

 

DON’T LOOK UP

Ce film a beaucoup fait parler de lui en fin d’année par le message d’urgence écologique qu’il voulait faire passer. Même si la perspective de fin du monde est abordée de manière satirique et que la prestation des acteurs (Leonardo Di Caprio, Jennifer Lawrence) est honorable, je suis restée sur ma faim. L’approche était un peu trop superficielle à mon goût pour que la dénonciation soit efficace.

 

Les comédies romantiques

Un genre que j’affectionne particulièrement : Je suis assez fleur bleue mais attention, même si je suis bon public du genre « téléfilm de Noël », j’ai tout de même un seuil de tolérance au niveau du cucu/niais !

 

TO ALL THE BOYS 1 & 2

Suite aux éloges lues ci et là au sujet de ces deux teen movies, je me suis lancée dans leur visionnage avec hâte mais quelle ne fut pas ma déception ! Même si l’approche visuelle était assez dynamique, je n’ai pas du tout vibré pour le couple formé par Lara Jean et Peter ni pour l’intrigue épistolaire. J’ai trouvé les personnages plats, peu charismatiques et sans relief et même si je suis consciente que ce genre de programme ne donne en général pas dans le réalisme, tout me paraissait faux et surjoué. Bref, je ne comprends pas.

 

THE KISSING BOOTH

Excellente surprise au contraire ici ! Voilà ce que j’appelle une bonne comédie romantique. Même si les personnages sont adolescents et que l’histoire n’est pas crédible sur plusieurs points (la violence de Noah ou la possessivité de Lee sont quelque peu dérangeantes), je me suis laissée porter par l’histoire californienne fraîche et drôle et j’ai beaucoup aimé !

Il y a du rythme, de l’espièglerie insufflée par Elle, le personnage principal, une complicité attendrissante avec son meilleur ami Lee et une alchimie physique avec Noah (les acteurs Joey King et Jacob Elordi sont même sortis ensemble dans la vraie vie, preuve que ça collait entre eux hehe). D’ailleurs, la fin sortait un peu des sentiers battus avec un joli message. Il est prévu un Kissing Booth 2 : pas sûre que ce soit à la hauteur du 1er mais j’ai hâte de le voir quand même ! En tous cas, ici, les papillons dans le ventre sont au rendez-vous.

 

LOVE WEDDING REPEAT

Déception bis. C’est rare que je déconseille carrément de prendre le temps de regarder un film mais ici, rien ne va dans ce remake du film français « Plan de table »(je ne l’ai pas vu mais il paraît qu’il est bien mieux que celui-ci). J’attendais une prestation plus brillante de Sam Claflin (qui jouait déjà dans Love, Rosie avec Lily Collins ou connu pour son rôle plus charismatique de Finnick dans Hunger games) mais je me suis ennuyée et ai péniblement lutté pour rester jusqu’au bout de cette journée de mariage. Il doit bien y avoir des gens qui aiment ce film mais de quelle planète viennent-ils?

 

ISN’T IT ROMANTIC

Une comédie romantique qui parodie les comédies romantiques : j’ai trouvé ça frais et drôle (avec la présence de Rebel Wilson et de Liam Hemsworth).

 

THE KISSING BOOTH 2

Ce 2ème opus m’a moins séduite que le 1er. L’alchimie entre Elle et Noah n’était plus vraiment présente et je n’ai pas particulièrement vibré pour le nouveau rival, Marco. Cela reste tout de même agréable à regarder grâce à l’énergie des acteurs mais petite déception niveau romance.

 

HOW DO YOU KNOW

Une comédie romantique que je qualifierais de « Comédie next door ». Les personnages et le scénario ne font pas particulièrement rêver, le film est plutôt long mais j’ai été sensible aux échanges entre les protagonistes (Paul Rudd et Reese Witherspoon particulièrement touchants) et dans le message global du film.

Ce dernier a été un échec commercial à sa sortie mais peut-être ferez-vous partie des rares personnes comme moi qui y ont été sensibles et ont apprécié la subtilité de ce film, que d’autres qualifieraient d’ennuyeuse ?

 

CLUELESS

Une pépite Nineties qui a quelque peu mal vieilli niveau look quoique…! C’est plaisant de retrouver Paul Rudd et Alicia Silverstone à leurs débuts. Le teen movie par excellence qui dévoile déjà le charme désarmant de notre cher Paul (dont les armes principales sont décidément son regard et ses mimiques).

 

EN CLOQUE MODE D’EMPLOI

Film vu pour honorer mon marathon Paul Rudd. Ce dernier joue un rôle secondaire mais serait l’unique personnage à sauver de cette comédie pas vraiment drôle avec des personnages irritants (je pense à Debbie) ou sans réelle épaisseur.

Les personnes attendant un enfant, ayant vécu une grossesse ou étant fans de Paul Rudd peuvent peut être y trouver un intérêt mais il faut se forcer un peu tout de même.

 

40 ANS MODE D’EMPLOI

La suite du film précédent mettant cette fois-ci sur le devant de la scène le couple Pete (Paul Rudd) et Debbie (Leslie Mann). La crise de la quarantaine est abordée sans réelle subtilité ni vraiment d’humour dans cette comédie qui traîne en longueur et est souvent too much.

 

THE KISSING BOOTH 3

Décidemment, la qualité se dégrade du 1 au 3. Totalement emballée par le 1er épisode et tiédie par le 2ème, le 3ème ne m’a pas du tout plu. Délires « too much », absence d’alchimie et scénario tiré par les cheveux, le divertissement n’est même pas au rendez-vous.

 

Les émissions et documentaires

The world’s most extraordinary homes

Les émissions et documentaires sur Netflix sont en général d’une esthétique soignée, ce que j’apprécie beaucoup.

 

SEL GRAS ACIDE CHALEUR

On suit Samrin Nosrat (Cheffe et écrivaine culinaire) qui détaille les 4 aspects du goût dans la cuisine en explorant plusieurs parties du monde (dont le Japon !) : On sent sa passion déborder lorsqu’elle parle de nourriture ou qu’elle cuisine: Inspirant et appétissant !

 

THE WORLD’S MOST EXTRAORDINARY HOMES

Ici, on explore les plus belles demeures de la planète en compagnie de l’actrice Caroline Quentin et l’architecte Piers Taylor. Leur duo british à souhait fonctionne parfaitement durant les visites de ces maisons clairement extraordinaires, en osmose avec la nature et les contraintes environnantes. La déco est souvent à mon goût et me fait vraiment rêver.

 

TINY HOUSE NATION

La grande tendance des petites maisons mobiles et du minimalisme est le thème de cette série. Moi qui suis fan de l’esprit cabane, je suis servie ! Toutes les réalisations ne sont pas à mon goût mais permettent de se dire qu’il ne faut finalement pas grand chose pour être heureux (ah si ! Peut-être un architecte et de bons ouvriers quand même !)

 

MISS AMERICANA

Je ne suis pas une grande fan de Taylor Swift (j’apprécie néanmoins ses chansons) et je souhaitais en savoir davantage sur sa personnalité que je trouve de prime abord un peu lisse et se posant souvent en victime. Le reportage est évidemment tourné à son avantage et permet de voir un envers du décor (peut-être encore un peu trop contrôlé) de cette vie de pop star américaine.

Mon avis sur Taylor swift n’a pas beaucoup changé après avoir vu ce reportage : toujours un peu Calimero sur les bords (à juste titre parfois), très control freak, mais ce qu’on ne peut pas lui reprocher en tous cas, c’est son son côté bosseur et ses qualités de musicienne. Les vrais fans apprécieront encore mieux.

 

MINIMALISM

Ce documentaire est le témoignage de Josh et Ryan, les 2 créateurs du podcast du même nom The minimalists, qui parcourent l’amérique pour partager leur expérience du « Vivre mieux avec moins ».

C’est assez intéressant d’écouter Josh l’ancien workaholic, noyé dans son travail, dont la maison débordait d’objets. Sa décision radicale de se dégager de tout matériel pour vivre plus qualitativement est assez inspirante et peut ouvrir la voie à une réflexion personnelle pour sa propre consommation et ses objectifs de vie.

 

DOWN TO EARTH

Un documentaire écolo dans lequel on suit Zac Efron et son ami Darin Olien aux 4 coins du monde (alors, on est d’accord : empreinte carbone bof :-)) pour découvrir les alternatives d’écologie durable et les bonnes initiatives en faveur de l’environnement.

Beaucoup de candeur de la part de Zac et quelques bonnes idées à saisir au vol. On ne pousse pas l’analyse en profondeur mais cela peut être une première approche dans la prise de conscience écologique.

 

CHAQUE CHOSE À SA PLACE AVEC CLEA ET JOANNA

Une série d’émission sur le rangement pas vraiment dans la même veine que Marie Kondo : Ici, on ne parle pas de tri mais de réorganisation d’armoires à base de bacs en plastique et de classement selon les couleurs de l’arc-en-ciel.

Je n’ai pas vraiment adhéré au concept : les spécialistes Cléa et Joanna s’agitent trop, sont stressées (ou font semblant de l’être pour faire le show) et le résultat est ordonné mais on ne ressort pas de là avec de vraies astuces pratiques. Seul l’épisode avec l’actrice Reese Witherspoon m’a intéressée puisque l’on découvre sa garde-robe de films et de cérémonies : collector !

 

L’AGENCE

Une émission de télé-réalité française suivant la vie de la famille Kretz, spécialisée dans l’immobilier de luxe. Les biens montrés sont sublimes. Les acquisitions restent inaccessibles pour le commun des mortels mais la déco est inspirante et le suspense est savamment entretenu grâce à de petits drames quotidiens au sein de la famille. Un mélange entre un « Maison à vendre » et un « M comme Maison » de luxe qui se laisse bien regarder.

 

L’ARNAQUEUR DE TINDER

L’histoire vraie assez hallucinante d’un faux millionnaire ayant réussi à extirper des sommes colossales d’argent à des femmes à la recherche du grand amour, éblouies par un train de vie luxueux et les paillettes. Il paraît que cet arnaqueur a sa propre version des faits qu’il révèlera bientôt. Ce fait divers révèle en tous cas le problème de l’estime de soi et de l’importance que l’on accorde à se créer une vie illusoire, que ce soit du côté de l’arnaqueur ou de l’arnaqué.e…

 

MA MAISON RÊVÉE

Une émission de déco qui ne m’a pas vraiment convaincue. Même si les intérieurs sont propres et épurés, je n’ai pas été sensible à cette esthétique un peu trop contrôlée ni par le côté « famille américaine modèle » des Mc Gee, spécialistes en relooking de maison.

 

ANGÈLE

Un documentaire sur l’ascension rapide au succès de la chanteuse belge Angèle. Tout est raconté d’une manière touchante, fraîche et sincère. Mention spéciale à la mamie d’Angèle avec qui on aimerait bien partager un teatime.

 

Credits photos : Netflix
Crédits illustrations : Tokyobanhbao

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